Comme à son habitude, Piergorgio Pulixi met en place son scénario en Sardaigne, avec des passages de dialogues en sardes (entres autres identités linguistiques). Les vacances se profilent pour certains enquêteurs, mais l'heure est à la résolution d'enquête.
Un opus moins marqué par ce côté mysticisme, moins d'oppression. Ce crime serait presque trop humain dès le début. Il y a des fausses pistes, une volonté de mettre en place des rituels lors des assassinats mais il apparaît rapidement qu'il pourrait s'agit d'un copycat.
Mara et Eva sont toujours sur le cas des meurtres ritualisés. Le premier corps retrouvé va ébranler l'équipe, principalement ce binôme. Mais il n'y a pas le temps pour se morfondre. De nombreux éléments vont dérouter les investigations.
L'enquête va faire de nombreux détours, chercher dans l'ancien dossier, interroger, relâcher des suspects tout en les gardant en ligne de mire... Et surtout cet indice : le calendrier avec les mouvements de la lune.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire