Des opus entre 1080 et 1300 pages chaque édition, il y a à chaque fois des petits extras : contexte de rédaction, épilogue...
Tome 1 : gentleman cambrioleur, contre Herlock Sholmès, l'aiguille creuse, Arsène Lupin (pièce de théâtre), 813, les confidences d'Arsène Lupin, le bouchon de cristal, une aventure d'Arsène Lupin (pièce de théâtre).
Au total, c'est un premier tome de 1209 pages en incluant, en finale, une biographie de Maurice Leblanc. Photos de Maurice Leblanc, il est également question du clos Lupin à Étretat. Cet écrivain a aussi écrit des contes sentimentaux pour le Journal. C'est également des négociations avec le cinéma. Car derrière Arsène Lupin, il y a un homme qui a vécu de 1864 à 1941 qui fût touché par la maladie mais qui, jusqu'au bout, a continué d'écrire autour d'Arsène Lupin.
Dans le tome 2, nous retrouvons 6 histoires : l'éclat d'obus, le triangle d'or, l'île aux trente cercueils, les dents du tigre, les huit coups de l'horloge, la comtesse de Cagliostro. Vous ne retrouvez pas de pièce de théâtre dans cet opus.
Tome 3 : la demoiselle aux yeux verts, l'homme à la peau de bique, l'agence Barnett & Cie, la demeure mystérieuse, le cabochon d'émeraude, le barre-y-va, la femme aux deux sourires, Victor de la brigade mondaine, la Cagliostro se venge.
Le plus petit des trois tomes qui n'atteint même pas les 1100 pages. À chaque début d'histoire vous retrouverez un court paragraphe qui donne une anecdote : sur la publication originale, pas assez d'exemplaires tirés il a fallu repasser par l'impression, l'histoire a été publiée dans un journal avant d'être reliée... Il y a toujours les affichettes à l'ancienne au fil des pages.
Les univers sont toujours variés : des mariages arrangés, un vol de bijou (mais heureusement la propriétaire avait un exemplaire en fausses perles)... Il y a des rêves comme être propulsée à la tête d'une maison de couture.
Les formats sont aussi variés : nous avons des histoires sous formes de nouvelles avec des histoires au fromat plus long.
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