En Laponie Suédoise, les grands espaces voient passer humains et rennes. Mais des attaques violentes viennent bousculer l'équilibre des communautés. C'est comme si ces évènement étaient l'accélérateur de libération de parole : une place se libère parmi les élus devient soudainement intéressante.
Un roman entre marquage des bêtes et gestion des hommes : tout le monde y va de ses hypothèses sur les évènements qui viennent de se passer, les règlements de compte sur qui doit évacuer les bêtes mortes sur les rails, attraper les faons pour les tatouer...
Il y a une sorte de microcosme, la Laponie Suédoise face au reste du monde. Les lois européennes, Bruxelles sont montrés du doigt mais en même temps certains avantages sont acceptés, à partir du moment où leurs traditions sont respectées.
Comment conserver ses traditions ancestrales face au monde moderne ? Cela n'empêchera pas ses drames, qu'ils sont prêts à régler à leur manière. Un peu d'aide extérieure est la bienvenue mais trouver l'équilibre entre leurs méthodes et les croyances, le microcosme : cela rajoute de l'huile sur le feu.
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