La série Sherlock était portée par Benedict Cumberbatch et Martin Freeman dans les rôle des acolytes Sherlock Holmes et John Watson. Chaque épisode durait 1h30, et chaque saison comportait 3 épisodes.
Une étude en rose
Ce premier opus débute par la rencontre de Holmes et de Watson, leur installation en collocation. Plusieurs morts, de personnes ne se connaissant pas, s'apparentent à priori des suicides : sauf qu'il y a le même mode opératoire... Une nouvelle pilule en vente sur le marché noir, consommée par ces personnes ? Que nenni !
Au cours de l'enquête, Watson va rencontrer Mycroft, le frère de Sherlock. C'est aussi Watson, vétéran de guerre, est suivi par une thérapeute : la claudication résulte d'un choc post-traumatique, la canne va disparaître grâce à Sherlock...
Un premier manga réussit par rapport à l'épisode de la série télévisée. Le design des personnages est assez bluffant par rapport aux acteurs de la série, la trame est plutôt bien respectée.
Le banquier aveugle
Le binôme vit toujours dans le même appartement, avec la tenancière Mrs Hudson. Watson s'énerve contre une caisse automatique au supermarché : entre le produit non reconnu et la carte bancaire qui ne passe pas, il en faut peu pour mettre ses nerfs à rude épreuve...

En parlant de carte bancaire, passage par la banque : un collaborateur a disparu. Il était spécialiste de l'Asie, plus particulièrement de la Chine, et y faisait régulièrement des voyages, officiellement dans le cadre du travail bien sûr. Bien qu'il ne manquait pas de toujours ramener un petit quelque chose pour la secrétaire...
Une femme, spécialiste de la Chine également, travaille dans la partie conservation d'un musée et propose, entres autres, aux visiteurs une démonstration autour du thé.
Un nouveau corps fini par être découvert : un gaucher qui s'est tiré une balle dans la tête avec sa main droite. Il a dû faire preuve d'une sacré souplesse...
À chaque corps, des symboles sont retrouvés. Au-delà de traduire du chinois, il s'agit de comprendre le sens du message caché... Une suite qui reste fidèle au scénario de base, avec quelques raccourcis parfois mais qui n'enlèvent en rien la compréhension de l'épisode (après tout, chaque épisode de la série dure 1h30...).
Le grand jeu
Une enveloppe, destinée à Sherlock, est déposée au commissariat. Dedans, il y a un téléphone rose, qui est non sans rappeler le premier cas qui avait réunit Sherlock et John. Un appel ne tarde pas à arriver : une voix trafiquée, quelques indices, un temps imparti... Ce sera le premier d'une série d'énigmes à résoudre en peu de temps...
Jusqu'au dernier cas, qui mettra John en danger. Et surtout la rencontre avec Moriarty : son nom était mentionné par le chauffeur de taxi, dans "Une étude en rose", et mentionné par une galeriste d'art dans la dernière énigme à résoudre. Sherlock et John se retrouvent autour d'une piscine, où a eu lieu un drame, bien des années auparavant, et qui fût une énigme à résoudre dans cet opus.
Un scandale à Buckingham (1/2)
L'opus démarre par Sherlock nu, dans un drap. Embarqué par des sbires, ils se retrouve à Buckingham. John Watson était quant à lui détaché sur une enquête : un homme retrouvé mort mais pas de trace d'arme ni de meurtrier ni d'empreintes.
La femme, une habituée de faveurs particulières. Elle obtient des garanties grâce à des fichiers dans son téléphone. Pour donner le code d'accès à son coffre : elle se promène nue devant Sherlock... Car d'autres personnes en ont après le téléphone et veulent déverrouiller le coffre. Or il y a 2 codes : un qui ouvre, et un qui appelle la police... Pour démêler tout cela, il faut que Sherlock décrypte le code...
Un scandale à Buckingham (2/2)
Au-delà d'avoir récupéré le téléphone, encore faut-il réussir à le déverrouiller avec le code PIN, que bien sûr La Femme n'a pas donné... Mais qu'y a-t-il donc dans ce téléphone pour qu'il y ait autant de précautions ?
Ce cas ira jusqu'à la disparition pure et simple de La Femme. L'air de rien, Sherlock s'était attachée à elle. Ils avaient créé leur propre code. Même si elle affirme et affiche un détachement face à ce qui l'entoure, La Femme est loin d'être aussi insensible qu'il n'y paraît...
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